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Actualités nationales

Affaire Lee ZEITUNI

Qui sont Claude Kayat et Eric Robic?

Motard mortellement percuté en Dordogne : le conducteur du fourgon était ivre

Publié le 02/11/2014

Dans la nuit de vendredi à samediun accident de la circulation a fait un mort à Fonroque (24).

Le drame s'est produit peu après 1 h 30 sur la D 933 lorsque, au lieu-dit Le Tuquet-de-Rouillac, le conducteur d'un fourgon s'est déporté sur la gauche au moment du passage d'un cyclomotoriste de 15 ans roulant en sens inverse.

Les secours n'ont pu que constater le décès de l'adolescent domicilié à Eymet.

Quant au conducteur, un homme de 25 ans domicilié en Lot-et-Garonne, il circulait en état d'ébriété et a été placé en garde à vue.

 SUD OUEST

Sécurité routière. "J'ai rien bu!" mais 1,4g d'alcool dans le sang!

Rennes - 26 Octobre

Les gendarmes étaient mobilisés ce dimanche sur les routes. Près de Rennes, il n'a pas fallu attendre très longtemps pour constater des conducteurs ivres ou positifs au stups.

 

Sécurité routière. "J'ai rien bu!" mais 1,4g d'alcool dans le sang!

Près de Rennes, au rond point du Bois-Harel, il n'a pas fallu attendre longtemps pour que les gendarmes contrôlent des conducteurs sous l'emprise de stupéfiants ou d'alcool avec des taux élevés. Plusieurs véhicules ont du être immobilisés.

OUEST FRANCE

Le chauffard qui avait fauché une ado de 16 ans mis en examen et écroué

la DEPECHE.fr : Agen le 23/10/2014

L'Agenais de 22 ans qui a fauché une adolescente de 16 ans lundi soir sur le pont de la Libération àAgen a été présenté hier après-midi au parquet au terme de sa garde à vue. Assisté de son avocate, Me Sophie Grolleau, il a été mis en examen pour «blessures involontaires ayant entraîné une ITT égale ou inférieure à 3 mois en état d'ivresse manifeste et délit de fuite, refus de se soumettre au dépistage établissant un état alcoolique et défaut de maîtrise». Conformément aux réquisitions du parquet, l'intéressé a été placé sous mandat de dépôt et écroué à la maison d'arrêt. Le mis en cause qui roulait avec 1,20 g d'alcool dans le sang, a expliqué avoir voulu changer un CD dans sa voiture et n'avoir vu qu'au dernier moment en relevant la tête, les deux amies qui circulaient à vélo. Il aurait voulu en éviter une et aurait percuté la seconde. La jeune fille qui serait originaire du Villeneuvois et qui réside au foyer Balade de Pont-du-Casse, se trouvait toujours hier soir dans un état stationnaire, entre la vie et la mort, au service réanimation du centre hospitalier régional Purpan de Toulouse. L'adolescente a été fortement touchée au niveau cérébral et à l'abdomen. Lorsque la victime a été fauchée, elle a été projetée sur le pare-brise du véhicule. Le conducteur a pris la fuite, sans daigner lui porter secours. Au moment de l'impact, le pare-soleil a été touché laissant échapper sur la chaussée, les papiers du propriétaire de la voiture. Les policiers ont ainsi pu localiser et interpeller, non sans mal, le fuyard qui habite à un kilomètre du pont de la Libération et qui avait dissimulé le véhicule accidenté. L'homme est déjà connu de la justice pour des infractions routières : une conduite sous l'empire d'un état alcoolique et deux délits de fuite, dont un déjà sur un accident.

Salarié dans une entreprise de surgelés d'Estillac, il aurait été victime d'un accident du travail qui l'aurait miné, au point d'y laisser son couple cet été. Séparé de la mère de son enfant en bas âge, il serait passé chez un ami lundi soir avant l'accident, s'épancher et là, il aurait consommé de la vodka. C'est en regagnant son domicile vers 21 h 30, que le drame effroyable s'est produit non loin du centre universitaire du Pin. Des témoins et des riverains évoquent sur les réseaux sociaux un véhicule arrivant à vive allure, effectuant plusieurs têtes à queue avant de remettre les gaz, sans adresser le moindre regard à la victime qui a chuté lourdement sur le sol. L'état de la victime est jugé critique à ce stade.

Une mission parlementaire propose de transformer des délits routiers en contraventions

20 minutes : le 22/10/14

La mission d'information parlementaire sur la lutte contre l'insécurité, présentée et présidée par le député socialiste Jean-Pierre Blazy, dans un souci de simplification et de modernisation des procédures, suggère mercredi que certains délits routiers survenant à la «première occurrence» soient «contraventionnalisés».

Diminuer les «charges de travail» des forces de l’ordre et des magistrats

Ces délits, aujourd'hui potentiellement passibles du tribunal correctionnel, ne seraient plus punis que d'une simple contravention. Il en irait ainsi de la conduite sous emprise d'un état alcoolique notamment quand la concentration d'alcool dans le sang est «égale ou supérieure à 0,80 gramme par litre». Elle serait sanctionnée, suggère la mission, par une contravention de 5e classe, ce qui n'est pas le cas actuellement et peut relever d'un tribunal correctionnel.

Idem pour la conduite sans permis de conduire. Ce délit ne serait plus forcément passible du tribunal correctionnel. En cas de récidive ou de répétition des faits, la mission demande en revanche de durcir la législation actuelle. Elle préconise également de porter la durée de suspension du permis de conduire, actuellement de six mois, à un an.

Jean-Pierre Blazy reconnaît dans le rapport que cela va «soulever des interrogations» et «susciter des critiques» mais considère qu'une évolution du cadre juridique est « possible» et «souhaitable», notamment afin de diminuer les « charges de travail » des forces de l'ordre et des magistrats.

«C’est stupide», réagi 40 millions d’automobilistes

« Quel message allons-nous envoyer? Avec 0,8 gramme d'alcool dans le sang, on est clairement accidentogène. Ce genre de mesures va désengorger les tribunaux au prix de la vie des autres», a réagi Pierre Chasseray, directeur général del'association 40 millions d'automobilistes. «C'est stupide».

Pour la présidente de la Ligue contre la violence routière Chantal Perrichon, «en faisant passer les contraventions à 0,80 gramme, on va donner le signal que le seuil d'alcoolémie augmente».

Un avis partagé par Jean-Yves Salaun, délégué général de l'Association Prévention Routière. Le dispositif actuel «a le mérite de faire passer les délinquants devant un juge. Cela donne une perception plus grave de l'acte commis et cela permet aussi d'adapter la peine, avec des peines complémentaires, comme un suivi médical par exemple».

60 propositions pour améliorer les conditions de travail des forces de l’ordre

Le rapport de la mission, sur plus de 200 pages, élabore une série de soixante propositions destinées à améliorer les conditions de travail des policiers, gendarmes et magistrats. Il veut ainsi renforcer et étendre le travail entrepris dans les zones de sécurité prioritaires (ZSP), mieux mutualiser les moyens des forces de l'ordre, nationales ou municipales, favoriser la prévention.

La mission a débuté ses travaux il y a un an et a auditionné magistrats, responsables de la police et de la gendarmerie, les ministres de la Justice et de l'Intérieur, ainsi que des syndicalistes, sociologues ou statisticiens. Elle s'est aussi rendue sur le terrain. Ce rapport est signé par onze députés, outre Jean-Pierre Blazy, majoritairement de gauche.

Fabrice Pouliquen - 

Drogue: de nouveaux tests salivaires de détection bientôt expérimentés

AFP 21-10-2014

Une nouvelle technique de tests salivaires de détection de drogue va être expérimentée sur les conducteurs à partir du 1er décembre dans dix départements dont Paris, a annoncé mardi la Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives (MILDECA).

"Actuellement, la recherche de stupéfiants chez les conducteurs relève d'un protocole long et coûteux" avec un test salivaire puis un prélèvement sanguin effectué par un médecin et transmis ensuite à un laboratoire pour analyse, explique la MILDECA dans un communiqué.

La nouvelle technique vise à se passer du prélèvement sanguin en le remplaçant par un deuxième test salivaire, effectué par les forces de l'ordre, beaucoup moins lourd et coûteux à mettre en place.

Les tests seront menés du 1er décembre 2014 au 1er juin 2015 sur 200 conducteurs volontaires au total dans les Alpes-Maritimes, en Dordogne, Gironde, Ille-et-Vilaine, Loire-Atlantique, Moselle, dans le Nord, la Haute-Savoie, les Yvelines et Paris.

"L'objectif c'est de rendre la procédure plus simple et d'éviter au conducteurs et aux forces de l'ordre de passer la nuit aux urgences" pour y effectuer un prélèvement sanguin, a expliqué à l'AFP Danièle Jourdain Menninger, présidente de la MILDECA.

Pour Mme Jourdain Menninger, "il faut augmenter le nombre" des tests de stupéfiants, car "plus de 23% des conducteurs impliqués dans des accidents mortels de la route sont sous l'emprise de stupéfiants".

"Beaucoup de jeunes découvrent après un accident que les substances prises atténuent leur vigilance", dit la présidente de la MILDECA, précisant que seulement 144.000 dépistages de stupéfiants sont effectués chaque année en France contre 10,8 millions de tests d'alcoolémie.

Les nouveaux tests seront menés en parallèle de la procédure actuelle, avec prélèvement sanguin, afin de tester la fiabilité du nouveau protocole.

"L'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale (IRCGN) et l'Institut national de police scientifique (INPS) seront chargés d'analyser les prélèvements qui seront fournis par les forces de l'ordre", annonce la MILDECA.

"Les résultats obtenus permettront d'établir la fiabilité du nouveau protocole, avant sa généralisation", est-il ajouté.

Actu Orange.fr

Agen : une adolescente grièvement blessée par un chauffard en état d'alcoolémie

Publié le 21/10/2014

 

Une jeune fille âgée de 16 ans a été grièvement blessée lundi soir dans un accident de la circulation, à Agen.

L'adolescente circulait à vélo avec une amie de son âge, également cycliste, sur le pont de la Libération, vers 21 h 30, lorsqu'une voiture l'a violemment percutée par l'arrière en évitant le deuxième deux-roues. Selon les témoignages, le véhicule a fait un tête-à-queue avant de prendre la fuite.

À hauteur de la faculté du Pin

Sous la violence du choc, la jeune fille a été propulsée quelques dizaines de mètres plus loin, à hauteur de la faculté du Pin. Immédiatement alertés, les sapeurs-pompiers et le Samu se sont rendus sur les lieux, tandis que les agents de la police nationale bloquaient la circulation sur le pont, depuis la place du Pin jusqu'au rond-point de la caserne des pompiers. La victime, grièvement blessée, a été transportée par les secours à l'hôpital d'Agen avant d'êtrehéliportée au centre hospitalier de Bordeaux.

Son amie sous le choc

Elle et son amie sont résidantes du foyer départemental de l'enfance Balade, situé à Pont-du-Casse. Une de leurs encadrantes s'est rendue sur place. La seconde adolescente, qui n'a pas été blessée, était sous le choc et a été prise en charge par les sapeurs-pompiers.

Le conducteur en garde à vue

Le conducteur, un Agenais âgé de 22 ans, a été interpellé une heure après les faits, à son domicile. Il était alcoolisé. Placé à garde à vue, il a reconnu les faits. 

La circulation sur le pont de la Libération a été interrompue pendant plus d'une heure.

SUD OUEST

La gendarmerie /Photo DDM, Illustration.

Gironde : le conducteur alcoolisé qui a tué une fillette a été écroué

Publié le 20/10/2014

Faits divers


La gendarmerie /Photo DDM, Illustration.

L'automobiliste de 21 ans qui a percuté en état d'ébriété le véhicule à bord duquel circulaient un homme de 32 ans et ses deux fillettes vendredi en Gironde, provoquant la mort de l'une d'entre elles, a été écroué, a indiqué ce lundi une source judiciaire.

Le suspect avait été placé en garde à vue après l'accident, survenu peu après 15 heures près de Saint-Estèphe, dans le Médoc. Au volant de sa fourgonnette, il aurait grillé un stop, entrant en collision avec une voiture dans laquelle se trouvait le père et ses deux filles de 2 et 3 ans.
La plus âgées des deux a succombé sur place à ses blessures, sa soeur et son père restaient hospitalisés lundi dans un état grave. Dans l'accident, deux occupants de la fourgonnette avaient été légèrement blessés.

La fourgonnette incendiée

Le conducteur présentait un taux d'alcoolémie de 0,44 mg par litre d'air expiré, soit environ 0,88 grammes d'alcool par litre de sang.
Au terme de sa garde à vue, le chauffard, qui circulait sans assurance, a été mis en examen dimanche pour homicide involontaire lors de la conduite d'un véhicule à moteur, aggravé par conduite sous l'empire d'un état alcoolique, a précisé le parquet. Le jeune homme encourt sept ans de prison et 100 000 euros d'amende. Il a été placé en détention provisoire.

Détail troublant, sa fourgonnette, qui avait été saisie et placée dans un garage, a été incendiée la nuit dernière, a expliqué une source proche de l'enquête.

Un enfant de 10 ans retrouvé mort près de son vélo en Seine-Maritime

SAINT-PIERRE-EN-VAL (Seine Maritime) le 18.10.2014


Illustration d'un gendarme, de la gendarmerie.Illustration d'un gendarme, de la gendarmerie. - P.MAGNIEN / 20 MINUTES

M.B. avec AFP 

Un garçon de 10 ans a été retrouvé mort vendredi, près de son vélo, à Saint-Pierre-en-Val(Seine-Maritime), et un appel à témoins a été lancé samedi par les gendarmes qui n'excluent aucune hypothèse - accident avec délit de fuite d'un véhicule, chute ou malaise - pour expliquer le décès, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.

L'enfant, qui faisait du vélo dans ce village normand où il résidait, près du Tréport, a été retrouvé inconscient vers 18H45 par des riverains, au bord d'une rue. Il est décédé sur place peu après l'arrivée des secours, a-t-on indiqué à la gendarmerie du Tréport, qui a ouvert une enquête.

Les enquêteurs travaillent sur plusieurs pistes

La mère du jeune garçon faisait du footing derrière lui et n'a pas assisté au drame, selon les gendarmes, qui ont lancé un appel à témoins pour tenter d'en comprendre les circonstances.

Les enquêteurs travaillent sur plusieurs pistes, notamment celle d'un accident avec un délit de fuite. Une autopsie du corps du garçon sera pratiquée dans les prochains jours, selon la même source.

Saint-Estèphe (33) : un conducteur alcoolisé tue une fillette de 3 ans

L'accident est survenu vendredi après-midi. Le père et la soeur de la victime sont également blessés et ont été admis aux urgences à Bordeaux. Le conducteur a été placé en garde à vue

 

Elle n'a pas survécu à ses blessures. Une fillette de 3 ans est décédée vendredi vers 17 h 30 des suites d'un accident qui s'est produit vers 15 h 45, route de Lambette à Saint-Estèphe.

Selon les premiers éléments dont disposent les gendarmes, une collision est survenue à un carrefour entre un véhicule utilitaire et la voiture conduite par le père de la fillette. Dans le choc, sa sœur de deux ans a été grièvement blessée et a été héliportée vers l'hôpital Pellegrin à Bordeaux. Le père a également été blessé et conduit aux urgences.

Les trois occupants du véhicule utilitaire sont indemnes. Une mesure d'alcoolémie sur le conducteur s'est révélée positive. Le jeune homme a donc été placé en garde à vue pour homicide involontaire.

 

SUD OUEST

Le rugbyman fidjien était ivre au volant : deux piétons sérieusement blessés

Un rugbyman fidjien du CA Périgueux (Fédérale 1) qui conduisait, ivre et sans permis, le véhicule d'un autre joueur, a renversé et grièvement blessé deux piétons, dans la nuit à Auch, a-t-on appris vendredi de sources policières. Les deux piétons ont été "sérieusement blessés" en pleine fête du primeur du vin de Colombelle, après avoir été touchés "aux jambes". L'un, âgé de 23 ans, "a eu la jambe quasi arrachée", ce qui pourrait mener à une amputation, selon les mêmes sources. L'autre "souffre de multiples fractures", a indiqué la police.

"Absence de permis et alcool"

Tous deux étaient soignés vendredi à l'hôpital d'Auch. Un troisième piéton n'a été que "très légèrement blessé", selon la même source. Le procureur de la République à Auch, Pierre Aurignac, a indiqué à un correspondant de l'AFP qu'il attendait de savoir comment l'état des blessés évoluait avant de prendre une décision concernant le conducteur fidjien, Laijiasa Bolenaivalu, 21 ans. Ce dernier, qui n'a aucun antécédent judiciaire, "a été autorisé à regagner Périgueux où il sera convoqué ultérieurement au commissariat", sur réquisition du procureur, qui retenu le chef de "blessures involontaires aggravées par des circonstances : absence de permis et alcool". Le conducteur Laijiasa Bolenaivalu avait pour passager le propriétaire du véhicule, Wendemi Fossaert, 24 ans, lui aussi fidjien, selon le procureur.

"Un taux d'alcoolémie de 1,36 gr/litre de sang" 

Une jeune femme dont l'identité n'a pas été révélée se trouvait également à bord du véhicule. M. Aurignac a indiqué également qu'il n'avait aucun élément permettant de retenir une responsabilité du propriétaire "dans l'état du dossier". La vitesse n'est pas en cause, a souligné le procureur. L'accident s'est produit vendredi vers 4 h 00, en plein centre d'Auch, au milieu de dizaines de participants à la fête du primeur blanc gersois Colombelle. Le conducteur, "non muni d'un permis, a perdu le contrôle du véhicule à un virage et a fauché les deux piétons sur le trottoir", a-t-on indiqué de source policière.

Les contrôles ont révélé qu'il avait "un taux d'alcoolémie de 1,36 gr/litre de sang" après une forte consommation de "rhum", selon la même source. Laijiasa Bolenaivalu a aussitôt reconnu les faits et indiqué qu'il avait consommé une importante quantité d'alcool, selon une autre source policière. Les deux joueurs du Club athlétique (CA) Périgueux allaient participer à cette fête à l'invitation d'un troisième, Larry Hueber, ancien joueur d'Auch. Ce dernier n'était pas monté à bord du véhicule. Le club a engagé une procédure de licenciement immédiat des trois joueurs, a annoncé le directeur général du club, Nicolas Coute, lors d'une conférence de presse à Périgueux.

Midi Libre - AFP

Accident mortel à Savenay. Le chauffard condamné à huit ans ferme

Saint-Nazaire - 14 Octobre

Le multirécidiviste n'a pas convaincu les juges en disant qu'il était allongé à l'arrière au moment de l'accident, qui avait fait deux morts le 7 juillet 2013.

Le tribunal a lourdement condamné le responsable de l'accident, un homme de 40 ans habitant Derval. Il contestait pourtant être celui qui conduisait le 4X4 qui s'était déporté sur la gauche, sur l'axe Bouvron-Savenay, avant d'entrer en collision avec deux voitures. Le propriétaire de la Jeep Cherokee avait été tué, comme le conducteur de la deuxième voiture percutée. Au total, onze personnes dont sept enfants avaient été blessés.

À la question « que s'est-il passé ? », le prévenu a répondu « j'en sais rien, je dormais. » Il avait été grièvement blessé et son taux d'alcoolémie a été contrôlé à 1.83 grammes d'alcool dans le sang. Selon les expertises, il était impossible pour un homme de sa corpulence en raison du faible écart (17 cm) entre le toit et l'appui-tête d'être projeté de l'arrière à l'avant.

Son casier judiciaire portant 28 condamnations, dont 13 pour des infractions routières, explique les lourdes réquisitions : 8 ans. « une peine d'exclusion puisque vous persécutez vos concitoyens depuis 20 ans », selon les mots du procureur. Le tribunal a suivi cet avis.

OUEST FRANCE

La RN21 fermée entre Périgueux et Bergerac pour une reconstitution judiciaire

le 13/10/2014

La route sera barrée à partir de mardi soir et jusqu'à mercredi matin, entre Le Touron et Campsegret.

Du mardi 14 octobre à 19 heures au mercredi 15 octobre à 8 heures, une reconstitution judiciaire nécessitera la fermeture de la RN21 dans les deux sens de circulation entre le lieu-dit Le Touron et l'entrée Nord de Campsegret.

Tous les usagers en transit entre Périgueux et Bergerac seront déviés via les RD8, RD21 et RD21E1 entre le giratoire Pont du Cerf au sud de Périgueux et le giratoire La Ribeyrie au nord de Bergerac. Pour les riverains, des déviations locales seront mises en place.

  • Deux piétons fauchés

Cette reconstitution judiciaire concerne un accident survenu dans la nuit du samedi 8 au dimanche 9 mars. Deux piétons avaient été fauchés par une voiture, à 4 h 30, sur la RN 21, au lieu dit Le Touron sur la commune de Campsegret. L'un d'eux, un Bergeracois, polytraumatisé, avait dû être héliporté vers le centre hospitalier universitaire Pellegrin de Bordeaux. L'autre, moins touché, avait été conduit à l'hôpital de Périgueux.

  • Délit de fuite

En revanche, le chauffard ne s'était pas arrêté après l'accident et avait pris la fuite. Retrouvé par les gendarmes de la brigade de recherches de Bergerac, le mardi soir, l'homme de 24 ans avait été placé en garde à vue. Après avoir été entendu par le ministère public, il avait été présenté au juge d'instruction qui l'avait mis en examen pour blessures involontaires avec ITT supérieure à trois mois et délit de fuite. Quant à ses trois passagers, ils devaient répondre de non-assistance à personnes en danger.

Une instruction avait été ouverte pour déterminer les conditions dans lesquelles l'automobiliste avait pris le volant pour rentrer de Périgueux à Bergerac. Notamment s'il avait consommé auparavant de l'alcool et des stupéfiants, et à quelle vitesse il roulait au moment de l'accident.

SUD OUEST

Accident mortel à Baulon. La gendarmerie lance un appel à témoins

RENNES : 11/10/14

Suite à la découverte, samedi matin vers 4h, du corps sans vie d'un homme sur la route entre Baulon et Lassy, la brigade de recherches de Redon lance un appel à témoins.

 

Samedi matin, vers 4h, le corps d'un homme sans vie a été découvert sur la route entre Baulon et Lassy près de l'arrêt de car  de la Croix-Rouge.

Selon les premiers éléments de l'enquête, il aurait été mortellement fauché par un véhicule qui ne se serait pas arrêté ou aurait pris la fuite.

La brigade de recherches de Redon lance un appel à témoins. Toutes personnes qui auraient été témoin de cet accident ou auraient vu marcher la victime pendant la nuit sont invitées à contacter les gendarmes au 02 99 72 16 28.

OUEST FRANCE

Policiers blessés à Empalot : le chauffard sous les verrous

TOULOUSE : le 10/10/2014

Le jeune homme de 21 ans qui a foncé sur des policiers de la brigade anticriminalité du Mirail dans la nuit de lundi à mardi a été condamné hier à 18 mois de prison.

Le chauffard de 21 ans qui a avoué avoir délibérément foncé sur des policiers de la brigade anticriminalité (BAC) du Mirail, dans la nuit de lundi à mardi, a été déféré hier devant le tribunal correctionnel de Toulouse en comparution immédiate (lire notre édition de mercredi). Cette nuit-là, des agents de la BAC ont été avertis qu'une Renault Twingo faisait un rodéo nocturne dans le quartier d'Empalot à Toulouse. Le conducteur, Kamel Belaouari, faisait crisser ses pneus et ronfler le moteur dans le quartier. «J'étais un peu chaud, j'ai fait l'imbécile avec ma voiture», a déclaré le jeune homme devant ses juges.

L'affaire aurait pu s'arrêter là. Mais Kamel a refusé d'obtempérer et a voulu semer la voiture de police en traversant le quartier à vive allure. La course-poursuite avec les forces de l'ordre a immédiatement mobilisé les jeunes habitants du quartier qui s'en sont pris aux policiers. Les forces de l'ordre ont reçu des projectiles et ont été insultées, deux grenades lacrymogènes ont dû être lancées pour disperser les assaillants.

En pleurs, il regrette

C'est une patrouille de la BAC, arrivée en renfort, qui a retrouvé la trace de la Twingo vide de tout occupant dans une impasse, allée Frédéric Montseny. Les quatre policiers de cet équipage ont retrouvé le conducteur peu de temps après.

Celui-ci a eu le temps de remonter dans la voiture et de mettre les clés sur le contact. Voulant à tout prix échapper aux policiers, il leur a délibérément foncé dessus, feux éteints. Un policier a eu le temps de se jeter sur le côté et un autre a été violemment percuté à la jambe droite. Le jeune homme a ralenti avant de redémarrer en trombe, percutant la voiture banalisée qui s'était mise en travers.

Le chef de bord de la brigade a eu le temps de se jeter dans l'habitacle de la voiture pour ne pas être renversé. Il a été blessé à l'épaule par la portière de la voiture qui s'est violemment refermée sur lui. Le bras en écharpe, il a expliqué hier avoir déjà subi une opération à cette épaule et avoir peur de ne pas pouvoir réintégrer son unité.

Arrêté mardi soir, Kamel a reconnu avoir foncé délibérément sur les policiers. Son motif : «je n'avais pas de carte grise et j'avais bu». Le jeune homme en pleurs à l'audience, venait de finir une peine de sursis avec mise à l'épreuve pour détention de stupéfiants et allait être embauché en CDI. «Je regrette, j'ai eu quelques soucis familiaux en ce moment. J'ai essayé d'évacuer un peu». «Je suis prêt à rembourser tous les dégâts». Des excuses qui n'ont pas satisfait les parties civiles, représentées par Me Boguet. «Il nous a foncé dessus délibérément et quand il est monté dans la voiture il ne semblait pas être en état d'ébriété.» Le procureur, qui a rappelé que cette semaine est marquée par une recrudescence des agressions envers les policiers, a requis une peine d'un an de prison dont 4 mois avec sursis. Kamel a été condamné hier à 30 mois d'emprisonnement dont 12 mois avec sursis avec mise à l'épreuve. Son permis a été annulé. Le jeune homme a été incarcéré.


D'autres policiers agressés

Une patrouille de police qui se trouvait devant un bar, hier, vers 1 h 30, au niveau du quai de Tounis à Toulouse, a été prise à partie par un individu. Ivre, il s'est mis à insulter les policiers et a tenté de leur porter des coups et a mordu l'un d'entre eux à un doigt. Cet homme de 43 ans a été placé en garde à vue. Un autre homme de 22 ans a été condamné, hier, à 3 mois de prison avec sursis pour avoir donné des coups de poing à deux policiers, mercredi dans le quartier de Lardenne à Toulouse.

J. Marty - LADEPECHE.FR

Sécurité routière. 31 permis retirés ce week-end en Ille-et-Vilaine

Encore un article sur la délinquance routière : une vraie mobilisation et des paroles d'une grande justesse des forces de l'ordre.

Qu'en dit la justice? Quelles suites  donnera-t-elle à tous ces délits qui mettent en danger la vie des autres?

Questions posées par Mme VOLANTE de l'Association Charlotte Mathieu Adam

 

Les chiffres sont alarmants. Le week-end dernier, les gendarmes de l'escadron départemental de sécurité routière ont multiplié les contrôles. En tout, 458 infractions !

Pas question pour les gendarmes de l'escadron départemental de sécurité routière d'Ille-et-Vilaine de relâcher la pression sur la sécurité routière. Et les résultats des contrôles de ce week-end leur donnent malheureusement raison.

122 gendarmes mobilisés

De vendredi soir à dimanche soir, près de 122 gendarmes ont été mobilisés sur tout le département. À Rennes, Saint-Malo, Redon, Fougères, Vitré... Priorités : les conduites addictives, les excès de vitesse, les priorités...

1 065 dépistages d'alcoolémie ont été réalisés ainsi que dix dépistages de stupéfiants. 45 conducteurs ont été contrôlés positifs à l'alcool dont un multirécidiviste avec un taux de 2,48 g/l. 8 conducteurs avaient également consommé des stupéfiants et 10 autres conduisaient sans permis de conduire.

3 refus d'obtempérer

Ont aussi été enregistrés 214 dépassements de vitesse dont un à 170 au lieu de 110 km/h. Aussi 43 non respect des règles de sécurité.

Tout aussi inquiétant, 3 conducteurs ont refusé d'obtempérer aux gendarmes et ont pris la fuite. L'un d'entre eux a pu être finalement interpellé.

31 permis retirés

Des infractions qui se sont conclues par 31 retraits immédiats du permis de conduire (20 liés à l’alcool et 8 aux stupéfiants.)

Les gendarmes vont continuer leurs contrôles et s'inquiètent de ce relâchement qui peut, non seulement coûter la vie à leurs auteurs mais aussi mettre en danger les autres usagers de la route.

Ouest France - Photo : Joël Le Gall 

Les délits de fuite après un accident mortel se multiplient dans l'Hérault

C'est un comportement qui est de plus en plus fréquent. En quelques mois, 5 accidents mortels, dans l'Hérault, ce sont traduit par 5 délits de fuite. Des chauffards qui abandonnent les victimes et

Perpignan, Bagnols-sur-Cèze, Béziers ou encore Lattes le week-end dernier, les accidents mortels provoqués par des conducteurs en fuite se multiplient. En quelques jours, ils ont fait plusieurs victimes autour de Montpellier.

Dimanche à Lattes, un jeune homme de 19 ans a été tué sur une route déserte. Devant la gare de Montpellier, un SDF de 48 ans a été retrouvé le même jour sans vie. Devant la difficulté des enquêtes, la justice multiplient les appels à témoins et le procureur hausse le ton.

La situation actuelle ne surprend pas les avocats montpelliérains qui assistent les parents de victimes. Ils veulent tous poursuivre les chauffards devant les Assises et changer la loi. Ils demandent que différence soit faite, entre un accident de la route et des actes de violences routières.

Reste qu'aujourd'hui, pour la seule agglomération de Montpellier, 5 conducteurs, auteurs d'accidents mortels sont activement recherchés par les services de police, tous les moyens sont utilisés, même les nouveaux médias et les réseaux sociaux.

Enfin, l'Hérault reste l'un des 5 départements français les plus accidentogène.

 

Par Fabrice Dubault - France3 Languedoc


1.015 accidents avec délit de fuite à Charleroi en 2014: 85 chauffards fuyards ont fait des blessés

Un véritable fléau. Chaque année, près de 50 % des accidents de roulage constatés par la police locale de Charleroi se soldent par un délit de fuite. Ainsi, depuis le premier janvier 2014, les forces de l’ordre carolo en ont recensé pas moins de 1.015. Soit plus de 3 par jour! Pire encore : il y a eu 85 faits où un chauffard a fait des blessés et a poursuivi son chemin sans même se retourner !

Sudinfo.be

Le chauffard de la Duchère écroué : des complications pour sa victime ?

Le cauchemar semble continuer pour cette femme de 37 ans.

Fauchée samedi soir boulevard de la Duchère, puis amputée des deux jambes à l'hôpital, elle souffrirait désormais d'une septicémie selon le Progrès.

Le chauffard présumé, un homme de 28 ans, a été écroué lundi et mis en examen pour blessures involontaires aggravées, délit de fuite et conduite sans permis. S'il a reconnu les faits, mais aussi avoir fortement abusé d'alcool et de stupéfiants, il nie avoir fuit les lieux du drame à pied. Selon son avocat, il aurait cherché à joindre sa compagne pour lui signaler l'emplacement du véhicule accidenté.
L'homme était déjà connu des services de police, notamment pour des délits routiers.

LyonMag

Rouen Alcool, stupéfiants, délit de fuite... Des chauffards interpellés à Rouen

Point commun entre les différents conducteurs interpellés, dans la nuit du samedi 4 au dimanche 5 octobre 2014, à Rouen ? L'alcool, la vitesse, ou encore le délit de fuite. Récit.

La nuit du samedi 4 au dimanche 5 octobre 2014 a été mouvementée, pour les policiers en patrouille dans l’agglomération de Rouen. Au moins cinq conducteurs ont terminé leur soirée au poste de police, alcoolisés, sous l’emprise de stupéfiants, sans permis de conduire, ou encore après un délit de fuite.

Sans permis, à Rouen

La série a débuté vers 19h20, sur les Hauts-de-Rouen. Au cœur de la Zone de sécurité prioritaire (ZSP), un équipage de la Brigade spécialisée de terrain aperçoit un véhicule qui file à vive allure, feux éteints, double sur des lignes continues.
Les policiers actionnent les gyrophares et la sirène. En vain : le chauffard prend la fuite. Il franchit plusieurs feux rouges. Il finit par être interpellé dans le bas de l’avenue de la Grand-Mare. Âgé de 28 ans, il vit à Franqueville-Saint-Pierre et reconnaît immédiatement qu’il n’a pas le permis de conduire.
Alcoolisé (1,70 g/L), il est également sous l’emprise de stupéfiants. En sa possession, une petite boîte rose contenant une petite quantité de résine de cannabis. Il a été placé en garde à vue.

Des stupéfiants à Cléon

Plus tard dans la soirée, c’est à Cléon qu’un homme circulant à vive allure au volant de sa Renault Twingorefuse d’obtempérer. Il est rattrapé par la Brigade anti-criminalité (BAC) vers 2h10. Alcoolisé, il a son permis de conduire. Mais il conduit sous stupéfiants. Des stupéfiants dont il admet être « un consommateur régulier », indique une source proche de l’enquête. Les policiers retrouveront d’ailleurs une barrette de résine de cannabis en sa possession.

La fuite se termine dans une voiture en stationnement, à Rouen

Après une interpellation difficile d’un conducteur dans le centre de Sotteville-lès-Rouen et un autre défaut de permis de conduire à Rouen, c’est un équipage de la BAC qui intervient à la suite du signalement de « dégradations sur des véhicules en stationnement », peu avant 3h30. Des témoins ont signalé que trois individus, à bord d’une Renault Clio auraient endommagé plusieurs véhicules stationnés le long du boulevard de l’Yser.
Le véhicule est repéré en direction de la rue d’Elbeuf, sur la rive gauche de Rouen. Elle circule sur une voie de bus. À la vue des policiers en civil, qui actionnent le gyrophare et la sirène, les occupants de la Renault Clio prennent la fuite. Le conducteur est finalement intercepté rue d’Elbeuf, après avoir encastré sa voiture dans des véhicules en stationnement. Deux des trois occupants sont interpellés. Le troisième prend la fuite. Le conducteur, « visiblement alcoolisé », refusera de se soumettre à l’éthylomètre. Il a terminé sa nuit en garde à vue. Il n’avait pas, non plus, de permis de conduire…

Rouen, 76
La Rédaction

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